Obéissant au doigt et à l’œil

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il y a 6 ans

Obéissant au doigt et à l’œil

Salut à tout le monde, je suis Barnabé, la chienne de Renaud, mon maître. Renaud, je l’ai dans la peau et j’obéis à tout ce qu’il me commande de faire ou de subir. J’ai actuellement un gode XXL dans le cul et j’ai ordre pour commencer de venir raconter dans le détail ce que j’ai vécu avec lui le jour de notre rencontre.

Pour le rendez-vous – nous l’avions convenu au téléphone après s’être rencontré sur un tchat gay – j’ai dû attendre à poil à 3 heures du mat dans le jardin de son petit pavillon. Je devais tenir sur une jambe tandis que je levais l’autre à la manière d’un chien qui pisse, avec le cul bien dirigé vers la porte d’entrée. Après un long moment, j’ai alors entendu la porte s’ouvrir…

Je bandais comme un malade et j’avais le cul en feu. J’ai senti sa présence derrière moi puis ses mains se sont posées sur mon cul écarté et cambré comme celui d’une salope en chaleur. Après m’avoir mis deux bonnes claques, une sur chaque fesse, je l’ai senti se rapprocher de moi et, sans crier gare, il m’a enfilé direct. Putain, quel bonheur !! Sa queue est rentrée dans mon oignon sans la moindre difficulté tellement je mouillais du cul depuis mon arrivée sur place.

  • Hum, tu as l’air d’être une bonne salope comme je les aime, toi !

Ma seule réponse fut mes gémissements. Je prenais mon pied. Il s’est mis à me bourrer de plus en plus fort. J’avais du mal à tenir sur une seule jambe. J’ai fini par tomber à quatre pattes sur la pelouse, l’entraînant dans ma chute par la même occasion. Et c’est ainsi que la saillie a continué de plus belle…

Enfin bref, voici comment s’est passée ma première rencontre avec celui qui allait devenir mon maître régulier.

Je dois vous dire, alors que je suis en train d’écrire devant l’ordinateur que j’ai une muselière, spécialement munie d’un gode qui me rentre dans la bouche ainsi qu’un énorme plug qui me remplit complètement le rectum. J’ai pour ordre de venir me confesser ici, sur dialogue69. J’ai le plus grand intérêt à écrire correctement car Renaud viendra lire cette histoire si elle est retenue ; et s’il n’est pas content de moi, je risque de passer un sale quart d’heure, je le sais.s

Je vais faire les choses en grand, afin que toi, mon cher maître, tu sois fier de la petite salope que tu as bien éduquée.

Une des choses que mon maître adore le plus, c’est me faire subir une saillie tout en me cravachant. Ça me fait gémir et même plus généralement hurlé pendant qu’il me tringle tout en abattant les coups de cravache sur mon dos. Généralement je trouve ce genre d’enculade très éprouvante et je finis en principe à plat-ventre à même le parquet. Renaud, complètement en rut finit de me tringler en hurlant et en déversant tout son foutre chaud dans mes entrailles.

Dernièrement, c’est-à-dire pas plus tard que le mois dernier, il m’a prêté à un mec. Celui-ci n’était pas très beau et approchait de la cinquantaine. Je n’ai pas eu à dire mon mot, je me suis contenté d’obéir à mon maître quand il m’a annoncé que dans la soirée nous aurions de la visite…

J’étais à poil et à quatre pattes sur la table basse du salon quand ça a sonné.

  • Voilà ma chienne ! a lancé Renaud en direction de celui à qui j’allais être soumis.

J’ai tourné brièvement la tête en direction de l’inconnu pour découvrir que c’était un géant de pas loin de deux mètres, bedonnant et avec des cheveux longs et gris qui lui descendait dans la nuque. Tout le contraire de ce que j’aime, tout le contraire de Renaud qui est un très beau gars de trente et un ans, sportif et musclé.

Jean-Christophe – c’est le nom du mec – a alors pris place sur le canapé à côté de moi comme l’y invitait Renaud. Je regardais droit devant moi, me gardant bien de détailler ce gros balèze. Je devais me montrer totalement obéissant et soumis, nu sur la table, figé comme une statue.

Renaud et Jean-Christophe ont pris un verre et moi je ne brochais toujours pas. Le type s’est mis à me flattéer la croupe en la caressant de ses grosses paluches.

  • Tu ne m’a pas menti, c’est une belle pouliche, je vais lui faire sa fête !! a-t-il dit à mon maître.

  • C’est quand tu veux, lui a répondu Renaud.

Le mec a fini par se lever et s’est rapproché de mon visage. Il a mis sa grosse main sous mon menton et m’a relévé la tête pour que je le regarde droit dans les yeux.

  • Ton maître m’a dit que tu adorais la bite, spécialement les très gros calibres, c’est bien ça ? m’a-t-il demandé sur un ton vicelard.

  • Oui, monsieur, ai-je répondu.

  • Alors tu ne vas pas être déçu, ma belle petite salope, a-t-il conclu tout en se débraguettant.

Je l’ai alors vu sortir de sa braguette un énorme saucisson de bite qui, même si la tige était au repos, était monstrueuse. Il m’a mis son morceau sous le nez pour je le hume. Ça sentait affreusement la bite crado qui pue la pisse.

  • Allez, avale-moi ça !

J’ai pris mon courage à deux mains et j’ai enfourné l’énorme gland entre mes lèvres et je me suis mis à le sucer. La bite tout entière a rapidement durci.

Je commençais à prendre du plaisir à la sucer quand il me l’a soudain confisquée de la bouche. Il s’est alors dirigé vers mon arrière-train et sans attendre m’a planté son énorme gourdin dans le cul. D’abord doucement, il s’est ensuite mis à me tringler à toute vitesse, avec de grands coups de bite qui manquaient à chaque fois de me faire chavirer de la table basse sur laquelle j’étais toujours à quatre pattes.

Après avoir joui une première fois sur mes reins, cet homme s’est déshabillé entièrement avant de prendre place au fond de l’un des fauteuils. Il a exigé que je vienne m’empaler sur lui. Comme il m’avait largement ouvert le cul une première fois, je n’ai eu aucun mal à venir m’enfiler sur son gros mandrin dressé à la verticale.

Et j’ai dû me tringler moi-même pendant que mon maître et lui discutait de choses et d’autres. Jean-Christophe est parti peu de temps après, me laissant avec mon maître que cette séance avait bien excité. Et j’en ai encore pris plein le cul jusqu’à tard dans la nuit.

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